Depuis 2010, la gagnante permanente des élections : c'est la colère. Les discours ne sont plus des projets d'espoirs mais des litanies de griefs. La victoire se donne au candidat qui se montre le plus capable de canaliser les colères. Climat né en 2010 avec le Tea Party. Consacré en 2016 par la victoire de Trump. Et depuis, tout le monde, ou presque, cède à cette mode. Jusqu'où ? Jusqu'à quand ? Une sorte de crise de nerfs collective. Inquiétant.
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