Hier, Mark Zuckerberg est intervenu pour défendre Facebook, empêtré dans une nouvelle polémique déclenchée par une enquête du New York Times qui accuse le premier réseau social au monde d'avoir orchestré une campagne de dénigrement contre ses détracteurs. Mark Zuckerberg a participé à une conférence téléphonique avec des journalistes, qui devait porter sur les efforts du réseau social pour protéger contre des contenus haineux ou violents. Le New York Times accuse Definers d'avoir voulu lier M. Soros aux détracteurs de Facebook, en diffusant de fausses informations pour les discréditer. Definers a bien «encouragé des journalistes» à se pencher sur le financement d'une campagne anti-Facebook pour montrer qu'il ne s'agissait pas d'une campagne spontanée. La Sénatrice Démocrate Amy Klobuchar souhaite une enquête du ministère de la Justice sur une éventuelle violation de la législation sur le financement des campagnes politiques, tandis que David Cicciline, un élu démocrate à la Chambre des représentants a affirmé que l'on ne pouvait pas faire confiance à Facebook pour «s'auto-réguler». Facebook s'installe de plus en plus au centre des campagnes électorales. Il est naturel que ses conditions de fonctionnement soient clarifiées.
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